Dans le monde biologique, les molécules comme les cellules ou les êtres vivants se font allègrement la courte échelle. Appuyés les uns sur les autres, ils innovent, interagissent et transforment la planète. Gènes emboîtés, échafaudages microbiens, partenariats entre organismes, depuis ses origines l’évolution est une affaire de réseaux, imbriqués les uns dans les autres. Des interférences entre microorganismes et notre propre biologie pourraient-elles expliquer le phénomène du vieillissement ?